Il a aussi été question d'élèves et de classes, de la vie du GFEN ou d'orthographe ! On a pu se rendre compte que les démarches dont le GFEN nous outille sont en train de diffuser un peu partout dans la Nièvre, grâce aux stages de formation, à nos réunions mensuelles, à la participation aux rencontres nationales, grâce à ces échanges riches et nombreux qu'ils permettent. Christèle et Cécile ont tellement bien ancré dans la tête de leurs élèves qu'en grammaire il s'agissait de comprendre, et non pas d'appliquer des règles, qu'ils en redemandent : "Maitresse, quand est-ce qu'on fait de la grammaire ?". Et ils se posent les bonnes questions pour l'orthographe des mots. Ce n'est pas grave si une inspectrice n'a rien compris lorsque la question a été soulevée en animation pédagogique !
En quelques mots, la formation inter-métiers à l'ITEP (enseignants, éducateurs, psychologues, assistante sociale) portait sur le rapport à l'autorité et au savoir de ces jeunes "fâchés" avec l'école et avec le monde entier, surtout fâchés peut-être avec eux-mêmes... Le GFEN a beaucoup à dire quand il s'agit de mobiliser les élèves, les faire entrer dans le savoir et les apprentissages, restaurer l'estime de soi. Un travail important sur le phénomène des attentes a particulièrement intéressé les participants.
Jean Bernardin nous a relancés sur l'idée de la construction d'un stage de rentrée (une journée fin août). Il semble que le moment soit venu d'y réfléchir et cela pourrait être un objet de travail pour la fin de l'année.
En attendant, retenez 2 dates :
le 14 avril avec le SNUipp, débat sur le travail enseignant avec le film "Une école, des élèves"
Rébecca Houzel/Christine Passerieux/Corinne Ojalvo
Et : le 25 mai avec le SE-UNSA, spectacle plein d'humour sur le travail enseignant "Silence dans les rangs"
A très bientôt.